L’histoire impressionnante des tours de My Son Cham
Votre voyage Vietnam vous offrira des souvenirs inoubliables dans un des sites les plus anciens du pays. La destination My Son se situe entre deux chaines de montagne où on peut trouver des vestiges tant religieux que culturels de la dynastie de Chămpa. Pour y aller, les visiteurs doivent passer une route étroite mais le paysage merveilleux mérite toutes leurs attentes après un long circuit.
Durant votre circuit Vietnam, allant à Quang Nam, la province au centre, vous pourrez avoir accès aux différents beaux sites parmi lesquels se figurent les tours de My Son. Datées du 10ème siècle, ces structures reflètent bien la culture du règne de Cham, qui se prospérait du 4ème au 14ème siècle. Elles sont appréciées non seulement par leur construction vraiment originale mais aussi très captivées par leurs anecdotes.
Commençons par une véritable histoire d’amour entre un architecte et une fille d’origine de Cham. Il s’appelait Kazik, travaillait dans la région depuis 16 ans. Passionné par cette zone, il avait donc décidé de consacrer toute sa vie à restaurer ainsi que reconstruire les tours de Cham. Un jour, il est tombé amoureux d’une fille de Cham, bien que sans langue en commun, ils ne puissent pas se parler. En fait, leurs rencontres romantiques se passaient tous les jours et leurs contacts se faisaient de leur propre façon. Leur amour se développait d’autant plus qu’après que la fille avait appris le vietnamien. Étant la grande amoureuse de Kazik à la fois son assistante compétente, la fille de Cham participait toujours au travail de construction de son équipe comme si elle était princesse que le Dieu avait envoyé au monde pour enseigner aux gens la danse de l’Apsara.
L’eau a coulé sous les ponts, la fille est effectivement devenue une belle femme qui adorait pratiquer la danse de l’Apsara sous le soleil au sein des tours anciennes. Ça a impressionné bel et bien le jeune architecte. Afin de mémoriser ces merveilleux moments, il a repeint l’image de la fille dansant sans sa permission. Cependant, elle a découvert le secret. Se trouvant embarrassée à cause de lui, elle l’a abandonné sans dire adieu.
Sa compagne est partie mais ses images ne cessaient d’obséder Karik. Il voyait souvent dans ses rêves, une jolie fille s’acquitter de la sculpture en pierre, danser passionnément et disparaître aussi tôt de son réveil.
Quelques années après, Karik est mort durant son séjour de mission à Hue. Sa seule demande au moment mourant : être enterré à My Son, tout près de ses tours bien aimés et notamment, il voudrait attendre sa chérie de retour.
S’ajoute aux souvenirs des touristes au cours de leur voyage une autre histoire émouvante qui s’est passé à My Son. Dans ce site touristique, personne ne peut s’en ficher d’un tout petit chalet où Pham Ngoc Xuan, un artisan de grand talent habitait temporairement. Il est né et élevé à My Son. Son enfance se déroulait tranquillement en plein nature, entourée de la beauté sauvage des grandes montagnes. Sa passion envers les danseurs de l’Apsara s’approfondissait également, malgré la punition de son père. Au contraire, sa mère l’encourageait sans cesse à devenir un grand sculpteur.
Actuellement habitant dans le petit chalet, il ne semble jamais fatigué de travailler avec les pierres de l’Apsara par lesquelles il manufacture des produits géniaux dont les prix ne sont pas fixés mais dépendent de la satisfaction de leurs clients.